Vous pouvez profiter ci-dessous d’une série d’extraits du film L’Incroyable histoire de Winter le dauphin, le film familial à venir:
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Kyle rencontre Winter
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – La queue d’un dauphin doit bouger vers le haut et vers le bas
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Et voici Winter
Plus d’extraits du film L’Incroyable histoire de Winter le dauphin ci-dessous:
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Et voici les piscines supérieures
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Et voici, Winter. tu vois le canard?
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Hey, regarde-moi Sawyer!
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Hi, je suis Clay
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Maintenant je me sens mal
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Lorraine est poursuivie par Rufus le Pélican
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Mettre une queue sur un poisson
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Voici la piscine du dauphin
L’Incroyable histoire de Winter le dauphin – Qu’est-ce qui fait le plus mal?
Le film L’Incroyable histoire de Winter le dauphin se concentre sur l’amitié entre un garçon et un dauphin dont la queue a été coupée dans un piège pour crabes. Le film sortira le 2 novembre 2011.
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Le film donne malheureusement une image fort erronée de ce qu’est la captivité. Par ailleurs, dans la réalité, Winter ne peut supporter sa prothèse très longtemps (dû aux effets secondaires de toutes les exoprothèses).
S’il s’est agi d’une prouesse technologique ayant permis à ce dauphin un plus grand confort en captivité, elle n’est pas une solution (contrairement à ce qui se fait actuellement en médecine vétérinaire dans certains cas) pour une remise en liberté, motif qui ne devrait jamais être oublié lors de la gestion d’un échouage de cétacé vivant.
Très souvent, et le meilleur exemple se situe Outre-Atlantique, théâtre du film, lorsqu’un animal est hospitalisé par un delphinarium, le but est de le conserver ultérieurement pour des shows. Il est alors avancé l’argument imparable (pour le grand public) que le cétacé sera incapable de survivre dans son milieu naturel.
Lorsque l’espèce échouée est réputée ne pas survivre en milieu confiné, l’animal est « humainement euthanasié ». En France, le problème se pose différemment, nos plages étant le théâtre récurrent d’agonies ou de boucheries.
En conclusion, ce film n’est donc qu’une fiction, les delphinariums étant de véritables hécatombes pour la biodiversité, nonobstant la souffrance qu’ils infligent à des animaux à vie sociale très complexe en liberté. Si vous voulez une prise en charge de la faune marine de manière indépendante, offrez le prix du ticket de cinéma à une association (www.sibylline.org) qui traite les échouages comme les urgences vétérinaires qu’elles sont !
Nous regrettons sincèrement que tout le travail bénévole de l’association Sibylline auprès des jeunes, en matière de l’importance du respect de la biodiversité marine, soit ainsi saboté par un film et ce qu’il véhicule.
à Sybilline :
Merci beaucoup de m’avoir gâché le film, grâce à ta « raison », je suis dégoutée de voir ce dauphin, vraiment merci bien ! –‘
Regrets… Du coup, tu vas retrousser tes manches et agir pour la protection de la faune marine pour que les futures générations puissent rester contemporaines des dauphins, au lieu d’aller les voir dans les musées, non ;-) ? Ce n’est pas de Winter dont il faut être dégoûté mais de ceux qui font un business de ces animaux…